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Le gouvernement de l’Etat de Savoie soutient les Corses dans leur demande d’officialisation de leur langue.
Tout comme en Savoie celle-ci devrait être apprise dès le plus jeune âge.
La banalisation des langues devient un problème épineux aujourd’hui. La France, forte d’un je-ne-sais-quoi impopulaire en tout point de vue, menace également de rendre obligatoire la langue anglaise en FAC ! Tout ça à cause du nombre d’étrangers qui viennent suivre leurs cours dans les Universités. Mais au vue du nombre de ministres et directeurs de cabinets nés en France et d’origine française dans le gouvernement français actuel, on peut comprendre le besoin de trouver une langue universelle pour que leurs familles puissent s’insérer plus facilement dans les contrées sauvages françaises qui ont du mal à se faire comprendre des français (Alsace, Bretagne, Corse,…). Mais surtout, personne ne se demande si ces étrangers qui viennent en France pour poursuivre leurs études, ne le font justement pas pour apprendre la langue française. A quoi bon pour un anglais, un américain, un allemand, … de venir en France pour apprendre une langue étrangère qu’il connaît déjà.
Oui aux langues régionales, qui en fait sont des langues nationales à la base, et non à l’anglicisme obligatoire.
http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2013N41002
http://www.liberation.fr/societe/2013/05/23/les-deputes-votent-en-faveur-des-cours-en-anglais-a-l-universite_905100
Le dimanche 16 juin 2013 à partir de 11h00,
L’Etat de Savoie vous propose de vous réunir au Château de Clermont -GS -pour une visite conviviale et, suivant le temps, un pique-nique aux abords du château.
Pour ceux qui le désirent, des visites guidées sont possibles avec les amis du Château sur réservation au 04 50 69 46 81
plus d’informations sur http://www.culture74.fr/le-chateau-de-clermont
Une fois par mois, nous vous proposerons de nous retrouver autour d’un lieu historique de Savoie pour se rencontrer et discuter ensemble.
Le 1er juin 2013 a eu lieu le 40ème Congrès des Jeunes Sapeurs Pompiers du nord de la Savoie
L’Etat de Savoie félicite ces futurs pompiers volontaires ou professionnels qui, a à peine 12 ans, désirent déjà s’investir dans l’assistance aux victimes.
A les voir s’investir ainsi, la relève est d’ores et déjà assurée même si le nombre de pompiers volontaires est insuffisant dans certaines casernes de Savoie. Un travail en amont sur l’assistance aux victimes est nécessaires pendant les heures de cours scolaires afin d’initier mais surtout de faire prendre conscience à toutes et à tous du réel besoin de connaître un minimum de gestes de secourisme qui, même s’il ne serviront qu’une fois dans la vie d’un homme, peut être crucial pour celui qui les reçoit.
L’Etat de Savoie félicite les joueurs de l’ETG FC pour leur match du 31 mai 2013 en France voisine.
Un grand merci également à tous les supporteurs qui ont fait le voyage dans la capitale française.
La coupe de France n’est pas en Savoie, ça c’est sûr, mes les savoyards savent se faire remarquer à l’étranger. Comme quoi il n’y a pas que le ski, la Tom(m)e et le Reblochon en Savoie.
Merci encore à toutes et à tous et … A l’année prochaine !
ATTENTION QUESTION RETIREE PAR L’AUTEUR
Si la question est toujours visible, celle-ci n’aura donc aucun effet auprès de l’état français qui n’aura pas à y répondre.
Question N° : 27866 |
de M. Yves Nicolin ( Union pour un Mouvement Populaire – Loire ) |
Question écrite |
Ministère interrogé > Affaires étrangères |
Ministère attributaire > Affaires étrangères |
Rubrique > traités et conventions |
Tête d’analyse > traité de Paris du 10 février 1947 |
Analyse > mise en oeuvre. traité de Turin de 1860 |
Question publiée au JO le : 28/05/2013 page : 5348 |
Texte de la question
M. Yves Nicolin alerte M. le ministre des affaires étrangères et s’inquiète de ce que les réponses gouvernementales officielles fournies à ses deux précédentes questions écrites posées en 2010 et 2012 (n° 76121 et n° 10106) semblent en réalité parfaitement révélatrices d’une situation contentieuse au plan juridique et diplomatique pour la France. À deux reprises consécutives, le ministère des affaires étrangères n’a pu malheureusement fournir la preuve du respect strict par notre pays de l’article 44 du traité de Paris du 10 février 1947. Or ce traité est incontournable. La France a déjà été condamnée le 7 juin 1932 par la Cour internationale de justice pour violation de ce traité.
Dans cette affaire dite « des zones franches » la CIJ avait sanctionné une violation de l’article 435 du traité de Versailles de 1919 et tenu à rappeler expressément que « la souveraineté de la France sur ces territoires (existe) […] pour autant qu’elle n’est pas limitée par ses obligations internationales » (page 74 de la décision). C’est pourquoi ont été sollicitées du Gouvernement des réponses claires et précises sur le respect ou non des dispositions claires strictes et très formelles de l’article 44 du traité de Paris du 10 février 1947. Il est spécialement regrettable dans ces conditions, que le quai d’Orsay, auquel avait été rappelée l’existence de ce précédent fâcheux pour la France et relatif au statut singulier de la Savoie et de Nice (territoires rattachés à la France au moyen d’un traité territorial d’annexion signé à Turin le 24 mars 1860), n’ait pas veillé à respecter scrupuleusement l’article 55 d’un traité interallié et multilatéral signé à Paris par les 21 puissances victorieuses et fondatrices de l’ONU. Il est avéré aujourd’hui que la France n’a pas procédé à la notification diplomatique écrite exigée par cet article 44 du 10 février 1947, se contentant d’une « note verbale » non signée, certes doublée d’une publication au Journal officiel de la République française du 14 novembre 1948, mais en l’occurrence inopérante au plan diplomatique et comportant en outre des erreurs de dates fort curieuses. Il est surtout désormais établi, par la réponse officielle à la question n° 10106 du 13 novembre 2012, qu’en plus de cette notification diplomatique formelle faisant anormalement défaut (violation flagrante de l’article 44, paragraphe 1er), la France n’est plus en mesure d’enregistrer le traité de Turin du 24 mars 1860 en violation non pas seulement de l’obligation générale de l’article 102 de la charte de l’ONU, mais plus gravement et spécifiquement de l’article 44, paragraphe 2, du traité de paix multilatéral et interallié du 10 février 1947, en l’absence de notification valable et du fait du caractère prohibé de tout traité d’annexion. Il est spécialement regrettable que, depuis 2010, date à laquelle l’alerte concernant cette situation exceptionnelle fut lancée, M. Kouchner et M. Fabius, les deux ministres officiellement en charge de ce dossier, en aient manifestement négligé la portée et l’importance au plan géostratégique, politique, économique et historique pour la France. Il suffira de relever sur ce point qu’aucune des deux réponses gouvernementales aux questions n° 76121, le 15 juin 2010, et n° 10106, le 8 janvier 2013, n’a, de manière révélatrice, souhaité répondre scrupuleusement et expressément aux conséquences spécifiques pouvant résulter de l’article 44, paragraphe 3, du traité de Paris du 10 février 1947. Il l’interroge de nouveau sur le risque de reconnaissance d’une situation délicate car préjudiciable aux intérêts fondamentaux de la République française, par plusieurs États étrangers ainsi que, désormais, sur d’autres risques imminents suivants : saisine de la Cour internationale de justice de La Haye d’une question préjudicielle dans le cadre de n’importe quelle procédure judiciaire initiée à titre individuel par un ou plusieurs justiciables, ou pire par tout autre État membre de l’ONU ; saisine du haut-commissariat des droits de l’Homme à l’ONU sur le fondement de sa procédure n° 1503 désormais ouverte aux individus ; saisine du conseil des tutelles de l’ONU dans le cadre général des articles 73 et suivants.
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http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-27866QE.htm
La France a déjà été condamnée le 7 juin 1932 par la Cour internationale de justice pour violation de ce traité.
Une erreur s’est glissée, une rectification doit être faite dans les plus brefs délais !
M. DUGERDIL Fabrice
, Chemin de
74
Tél. : 06 XX XX XX XX le 26 mai 2013
LETTRE OUVERTE
à M. Le Président de la République française,
M. Le Premier Ministre de la République française,
Mme la Ministre de la Culture de la République française,
M. les Préfets de la République française en Savoie et Haute-Savoie…
Je viens d’apprendre par voie de presse votre intention prochaine de draper les écoles du drapeau tricolore français et d’y mettre en toutes lettres la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyens de 1789.
Je ne m’étalerai pas sur l’inapplicabilité des lois françaises sur tout le territoire de La Savoie (dénommés départements de Savoie et de Haute-Savoie selon vos services) suite à l’absence de votation populaire des habitants de Savoie après la mise en vigueur du Traité de Turin du 24 mars 1860 à la date du 1er mars 1948 (cf J.O.R.F. du 14 novembre 1948 page 10028 et J.O.R.F. du 8 janvier 2013 page 159, réponse à la question n°10106 du 13 novembre 2012 de M. Nicollin) conformément à l’article 1er du Traité de Turin du 24 mars 1860 et l’article 27 de la Constitution de la IVème République ou l’article 53 de la Constitution de la Vème République.
Par contre, là ou je vais m’attarder, c’est sur la présence de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyens de 1789.
Je serai curieux de savoir comment vous aller expliquer, sur le sol de La Savoie, l’article 3 de ladite Déclaration ? « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément ».
Je vous rappelle que l’invasion française subie par la Savoie en 1792 par vos armées alors que la Savoie n’était pas française est entièrement et totalement contradictoire avec le principe de souveraineté évoqué dans l’article ci-dessus mentionné. La Savoie faisait partie d’un autre Etat : Les Etats de Savoie ! Comment allez vous expliquer aux élèves de notre pays que la France, la Grande France de 1789 a, 3 ans plus tard, délibérément violé les Droits qu’elle venait de mettre en place dans le pays voisin qu’était le nôtre ?
Violé ! Oui ! Dans les deux sens du terme, physiquement et moralement !
Rappelez-vous des batailles comme celle de Méribel (entre autre) sur les coteaux de Sallanches livrée le 28 septembre 1793 ; souvenez-vous de la Frichelette de Thônes, le 5 mai 1793, qui souleva quelques 3000 hommes contre l’envahisseur français ! Qui sera arrêtée le 9 mai et fusillée le 18 mai 1793 par les troupes françaises !
Quelles légitimités avaient la France et leurs subordonnés en Savoie ces jours là ?
Et c’est ça ! que vous voulez donner comme valeur aux enfants de nos écoles ?
Vous nous avez supprimé notre histoire en 1919 dans nos écoles, cela ne vous suffisait-il pas ?
Alors, RESPECTEZ D’ABORD LES LOIS ! et après vous pourrez vous mettre en donneur de leçon :
NON, nous ne voulons pas du drapeau tricolore sur les murs de nos écoles,
NON, nous ne voulons pas de votre devise que vous n’avez jamais respectée ici,
NON, nous ne voulons pas de votre Déclaration que vous ne respectez pas non plus.
M. Le Président, M. et Mme les Ministre, MM les Préfets, le respect ça se gagne, ça ne se prend pas !
Pour télécharger la lettre au format word 2003 cliquez ici
N’hésitez pas à partager mais aussi à l’envoyer
http://www.lepoint.fr/politique/le-drapeau-francais-dans-toutes-les-ecoles-23-05-2013-1671667_20.php
Madame la Ministre de la Justice française, Mme TAUBIRA annonce dans son courrier envoyé le 26 avril 2013 l’indépendance de la Justice avec le Ministère de la Justice, alors, une petite question :
Qu’attendent les Juges pour faire respecter les lois qui n’arrangent pas l’Etat français puisqu’ils doivent faire appliquer le droit français dans toutes les conditions et que le Ministère de la Justice les soutien dans cette action ?
Jusqu’ici inconnu du grand public, le FLNP rejoint une liste d’organisations indépendantistes plus ou moins violentes recensées en France.
Le Front de libération nationale corse (FLNC) est bien sûr le plus connu et le plus violent des groupes indépendantistes. Depuis sa création, en 1976, ce mouvement, qui reste toujours actif, a revendiqué des milliers d’attentats, commis en majorité sur l’île, mais aussi sur le continent et jusqu’à Paris.
Des attentats à l’explosif
Autre foyer indépendantiste en France, le Pays basque, qui a aussi connu des heures très violentes dans les années 1980. A l’époque, le groupe Iparretarrak était le pendant français de l’ETA et a organisé plusieurs attentats et même des assassinats. Jamais dissous officiellement, Iparretarrak est inactif depuis vingt-cinq ans. Un autre groupe, baptisé Irintzi, ce qui signifie le cri, a fait parler de lui à la fin des années 2000 en revendiquant des plasticages contre des agences immobilières, des villas et contre l’auberge ouverte au Pays basque par le chef Alain Ducasse.
Plus au nord, les indépendantistes bretons se sont aussi essayés à la lutte armée via l’Armée révolutionnaire bretonne (ARB), qui a été mise en cause dans le vol de 8 t de dynamite dans un dépôt du Finistère, en 1999, aux côtés de membres de l’ETA. Des explosifs utilisés en partie dans l’attentat contre le McDonald’s de Quevert (Côtes-d’Armor), en 2000, dans lequel une employée avait trouvé la mort. Dernière « poche » indépendantiste, beaucoup plus pacifique jusqu’à maintenant, la Savoie, où plusieurs organisations militent pour la création d’un Etat de Savoie. Les membres de ce mouvement, désigné comme « folklorique » par les services de renseignement, ont participé récemment à des manifestations pour empêcher la construction de la ligne TGV Lyon-Turin.
http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/des-mouvements-corses-basques-bretons-savoyards-07-05-2013-2784755.php
Nous remercions les renseignements généraux français qui nous désignent comme “folkloriques” car nous sommes pacifistes et légalistes, mais en attendant ils sont bien content que cela se passe dans la bonne humeur, sans heurt car pour nous la Savoie c’est notre avenir et notre intention n’a jamais été de la détruire. Bien au contraire, notre souhait est de lui redonner le blason qu’elle a porté durant plus d’un demi millénaire, de relancer l’économie locale au profit des habitants de Savoie. Le respect des droits pour tous.