Politiciens, le non sens près de chez nous

Comme nous vous l’annoncions le 3 juin 2014, voir ici, toute la classe politique de Savoie est en effervescence grâce ou à cause de la nouvelle cartographie régionale d’a-côté. 

Cette fois-ci, ce sont les présidents des Conseils Généraux, voir ici, qui demandent la fusion des deux départements de la Savoie et de la Haute-Savoie.

Quid de l’autonomie ou du respect des droits en Savoie ? Chut ! motus et bouche cousue, tel est le mot d’ordre. Aujourd’hui la Savoie ne vaut de garder son nom, pour eux, que pour une seule et unique raison : leur(s) place(s)

Mais pire, ces deux tarabés de Savoie veulent en plus faire une consultation de la population pour quelle se prononce sur cette fusion.

Attention, toute consultation de la population envers un régime franco-français fera approuver ce projet et c’est toute la Savoie qui y perdra car les dacôtés pourront alors dire : “vous avez accepter de créer une région Savoie ou un département unique français et donc selon les lois françaises”

Nous nous devons de réagir face à de tels propos purement personnels de la part de ces deux présidents français.

Nous sommes un peuple et notre peuple n’est pas français, notre auto-détermination doit venir de vous : savoisiens, et non d’eux : les dacôtés.

le 18 juillet, l’amendement déposé conjointement par Gaymard et Monteil, sous couvert de 8 députés de Savoie (Laclais s’étant abstenue), a été refusé par Cazeneuve (Ministre de l’Intérieur des dacôtés) qui a été suivi par les politiciens dacôtés puisque par l’amendement a été refusée par la majorité.

Cela prouve bien une fois de plus que les dacôtés font ce qu’ils veulent, puisque Lyon et la Corse disposent de ces fameux statuts particuliers demandés par les politiciens de Savoie. Des statuts qui auraient dans le seul sens de leur laisser un pouvoir auquel ils tiennent plus que tout.

Mais encore une fois, pourquoi ne parlent-ils jamais de notre histoire, de notre langue, de nos intérêts juridiques (zone franche)… ? Car les besoins du peuple ne sont pas leur priorité.

Nous avons donc un petit mois pour mettre au point un système de défense actif qui ne pourra fonctionner que si tous les groupements savoisiens s’unissent (au moins pour cette action) et diffusent un seul et même mot d’ordre :

Non à la région ! Non à la fusion ! Oui à l’autodétermination ! 

NON