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Et oui ! à quoi a bien pu servir sa réserve parlementaire ?
Et bien voici un tableau récapitulatif pour cette année 2011
07 |
Ardèche |
160000 |
17 |
Charente Maritime |
150000 |
26 |
Drôme |
150000 |
30 |
Gard |
80000 |
35 |
Ille et Vilaine |
200000 |
37 |
Indre et Loire |
349257 |
38 |
Isère |
500000 |
42 |
Loire |
60000 |
44 |
Loire-Atlantique |
60000 |
45 |
Loiret |
51760 |
49 |
Maine et Loire |
700000 |
50 |
Manche |
154500 |
51 |
Marne |
141300 |
53 |
Mayenne |
80000 |
57 |
Moselle |
68000 |
69 |
Rhône |
300000 |
70 |
Haute Saône |
72184 |
71 |
Saône et Loire |
100000 |
78 |
Yvelines |
60000 |
83 |
Var |
100000 |
90 |
Belfort |
50000 |
93 |
Seine St Denis |
180000 |
94 |
Val de Marne |
600000 |
|
|
4367001 |
Et pour la Savoie, seulement 43% de sa réserve :
Savoie |
63000 |
Haute-Savoie |
3344302 |
|
3407302 |
Un grand merci à M. Accoyer pour sa générosité envers la Savoie. S’il n’était pas natif de Lyon on aurait pu croire qu’il n’y connaissait rien à l’histoire de La Savoie.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2013/07/09/a-quoi-a-servi-la-reserve-parlementaire-de-bernard-accoyer-en-2011
Comme nous vous l’indiquions depuis le début, et avec cette réponse à la 3ème Question posée par M. Nicolin, La France souhaitait remettre en vigueur le traité de Turin du 24 mars 1860, mais ce qu’elle oublie de préciser, c’est que même si elle a notifiée ce souhait à l’Italie le 1er mars 1948 et que l’Italie acceptait cette notification, il aurait fallut que le peuple accepta également cette remise en vigueur et seule une votation du peuple de Savoie aurait permis à la France de dire aujourd’hui la Savoie est française, ce qui n’est pas le cas. Donc on peut le dire, deux fois de suite (J.O.R.F. du 8 janvier 2013 et celui du 25 juin 2013) La France souhaitait remettre le traité de Turin du 24 mars 1860 en vigueur, mais cela reste aujourd’hui encore qu’un souhait… Affaire à suivre donc…
http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-29249QE.htm
Il y a à peine 48 heures, le Dauphiné Cadenassé nous apprenait dans ses colonnes que la Haute-Savoie (Chablais, Faucigny, Genevois) possédait un solde positif de 97M€ pour son Conseil Général qui ne correspondait à aucune dépense prévue.
Hier, nous apprenions que la France ne désire pas mettre un centime dans le désenclavement du Chablais alors que ses routes sont surchargées et deviennent de plus en plus dangereuses
Et aujourd’hui, M. Monteil, président du Conseil Général propose à la France de payer les infrastructures nécessaires au désenclavement du Chablais (ça c’est très bien) mais en contre partie d’une mise en concession de cet axe de contournement.
Pour ceux qui n’auraient pas tout compris, les Chablaisiens paieront leur voie de contournement de leurs propres deniers, puis une fois l’axe terminé, devront s’acquitter de frais de péage pour l’emprunter. Mais comme tout est toujours bien fait en France, le remboursement ira naturellement dans les poches des sociétaires d’autoroute (ATMB est déjà dans les rangs) et de l’état français qui a refusé tout naturellement d’assumer la moindre dépense.
Pour info : http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2013/06/27/christian-monteil-demande-a-l-etat-de-laisser-le-departement-prendre-les-choses-en-main
Pour rappel : http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/09/15/l-etude-de-la-liaison-autoroutiere-a40-chasseurs-est-lancee
http://autorout.free.fr/3_Cartes/4_Alpes/N_206_Geneve_Thonon/A_40_Chasseurs/A%2040%20chasseurs.pdf
Nous venons d’apprendre la disparition de Pierre Plancher, directeur de publication et gérant de l’hebdomadaire “Le Faucigny” et directeur de l’imprimerie éponyme de Bonneville. Le seul journal aujourd’hui qui informe sans déformer les propos est donc sur la sellette. Nous espérons que la déjà douloureuse perte d’un homme ne sera pas augmentée par la perte, en plus, d’un journal existant depuis 1864 d’abord sous le nom de “L’Allobroge”, puis en 1944 sous le nom de “Le Faucigny” acquis par la société Plancher pendant l’entre deux guerres. Une sorte de “Canard Enchaîné” de Savoie. Nous présentons toutes nos condoléances à la famille du défunt.
Le gouvernement de l’Etat de Savoie soutient les Corses dans leur demande d’officialisation de leur langue.
Tout comme en Savoie celle-ci devrait être apprise dès le plus jeune âge.
La banalisation des langues devient un problème épineux aujourd’hui. La France, forte d’un je-ne-sais-quoi impopulaire en tout point de vue, menace également de rendre obligatoire la langue anglaise en FAC ! Tout ça à cause du nombre d’étrangers qui viennent suivre leurs cours dans les Universités. Mais au vue du nombre de ministres et directeurs de cabinets nés en France et d’origine française dans le gouvernement français actuel, on peut comprendre le besoin de trouver une langue universelle pour que leurs familles puissent s’insérer plus facilement dans les contrées sauvages françaises qui ont du mal à se faire comprendre des français (Alsace, Bretagne, Corse,…). Mais surtout, personne ne se demande si ces étrangers qui viennent en France pour poursuivre leurs études, ne le font justement pas pour apprendre la langue française. A quoi bon pour un anglais, un américain, un allemand, … de venir en France pour apprendre une langue étrangère qu’il connaît déjà.
Oui aux langues régionales, qui en fait sont des langues nationales à la base, et non à l’anglicisme obligatoire.
http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2013N41002
http://www.liberation.fr/societe/2013/05/23/les-deputes-votent-en-faveur-des-cours-en-anglais-a-l-universite_905100
Le dimanche 16 juin 2013 à partir de 11h00,
L’Etat de Savoie vous propose de vous réunir au Château de Clermont -GS -pour une visite conviviale et, suivant le temps, un pique-nique aux abords du château.
Pour ceux qui le désirent, des visites guidées sont possibles avec les amis du Château sur réservation au 04 50 69 46 81
plus d’informations sur http://www.culture74.fr/le-chateau-de-clermont
Une fois par mois, nous vous proposerons de nous retrouver autour d’un lieu historique de Savoie pour se rencontrer et discuter ensemble.
ATTENTION QUESTION RETIREE PAR L’AUTEUR
Si la question est toujours visible, celle-ci n’aura donc aucun effet auprès de l’état français qui n’aura pas à y répondre.
Question N° : 27866 |
de M. Yves Nicolin ( Union pour un Mouvement Populaire – Loire ) |
Question écrite |
Ministère interrogé > Affaires étrangères |
Ministère attributaire > Affaires étrangères |
Rubrique > traités et conventions |
Tête d’analyse > traité de Paris du 10 février 1947 |
Analyse > mise en oeuvre. traité de Turin de 1860 |
Question publiée au JO le : 28/05/2013 page : 5348 |
Texte de la question
M. Yves Nicolin alerte M. le ministre des affaires étrangères et s’inquiète de ce que les réponses gouvernementales officielles fournies à ses deux précédentes questions écrites posées en 2010 et 2012 (n° 76121 et n° 10106) semblent en réalité parfaitement révélatrices d’une situation contentieuse au plan juridique et diplomatique pour la France. À deux reprises consécutives, le ministère des affaires étrangères n’a pu malheureusement fournir la preuve du respect strict par notre pays de l’article 44 du traité de Paris du 10 février 1947. Or ce traité est incontournable. La France a déjà été condamnée le 7 juin 1932 par la Cour internationale de justice pour violation de ce traité.
Dans cette affaire dite « des zones franches » la CIJ avait sanctionné une violation de l’article 435 du traité de Versailles de 1919 et tenu à rappeler expressément que « la souveraineté de la France sur ces territoires (existe) […] pour autant qu’elle n’est pas limitée par ses obligations internationales » (page 74 de la décision). C’est pourquoi ont été sollicitées du Gouvernement des réponses claires et précises sur le respect ou non des dispositions claires strictes et très formelles de l’article 44 du traité de Paris du 10 février 1947. Il est spécialement regrettable dans ces conditions, que le quai d’Orsay, auquel avait été rappelée l’existence de ce précédent fâcheux pour la France et relatif au statut singulier de la Savoie et de Nice (territoires rattachés à la France au moyen d’un traité territorial d’annexion signé à Turin le 24 mars 1860), n’ait pas veillé à respecter scrupuleusement l’article 55 d’un traité interallié et multilatéral signé à Paris par les 21 puissances victorieuses et fondatrices de l’ONU. Il est avéré aujourd’hui que la France n’a pas procédé à la notification diplomatique écrite exigée par cet article 44 du 10 février 1947, se contentant d’une « note verbale » non signée, certes doublée d’une publication au Journal officiel de la République française du 14 novembre 1948, mais en l’occurrence inopérante au plan diplomatique et comportant en outre des erreurs de dates fort curieuses. Il est surtout désormais établi, par la réponse officielle à la question n° 10106 du 13 novembre 2012, qu’en plus de cette notification diplomatique formelle faisant anormalement défaut (violation flagrante de l’article 44, paragraphe 1er), la France n’est plus en mesure d’enregistrer le traité de Turin du 24 mars 1860 en violation non pas seulement de l’obligation générale de l’article 102 de la charte de l’ONU, mais plus gravement et spécifiquement de l’article 44, paragraphe 2, du traité de paix multilatéral et interallié du 10 février 1947, en l’absence de notification valable et du fait du caractère prohibé de tout traité d’annexion. Il est spécialement regrettable que, depuis 2010, date à laquelle l’alerte concernant cette situation exceptionnelle fut lancée, M. Kouchner et M. Fabius, les deux ministres officiellement en charge de ce dossier, en aient manifestement négligé la portée et l’importance au plan géostratégique, politique, économique et historique pour la France. Il suffira de relever sur ce point qu’aucune des deux réponses gouvernementales aux questions n° 76121, le 15 juin 2010, et n° 10106, le 8 janvier 2013, n’a, de manière révélatrice, souhaité répondre scrupuleusement et expressément aux conséquences spécifiques pouvant résulter de l’article 44, paragraphe 3, du traité de Paris du 10 février 1947. Il l’interroge de nouveau sur le risque de reconnaissance d’une situation délicate car préjudiciable aux intérêts fondamentaux de la République française, par plusieurs États étrangers ainsi que, désormais, sur d’autres risques imminents suivants : saisine de la Cour internationale de justice de La Haye d’une question préjudicielle dans le cadre de n’importe quelle procédure judiciaire initiée à titre individuel par un ou plusieurs justiciables, ou pire par tout autre État membre de l’ONU ; saisine du haut-commissariat des droits de l’Homme à l’ONU sur le fondement de sa procédure n° 1503 désormais ouverte aux individus ; saisine du conseil des tutelles de l’ONU dans le cadre général des articles 73 et suivants.
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http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-27866QE.htm
La France a déjà été condamnée le 7 juin 1932 par la Cour internationale de justice pour violation de ce traité.
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