Lettre ouverte à M. MACRON
Lettre ouverte à M. MACRON, Ministre dacôté se croyant en Savoie chez lui
Les représentants du Peuple Savoisien prennent acte de votre désir de favoriser l’arrivée de capitaux chinois au sein de la Compagnie des Alpes (CdA) organisme fortement impliqué dans plusieurs de nos stations Savoisiennes de sports d’hiver.
Par vos agissement dépourvus de toute concertation, vous ne tenez aucunement compte des représentants du Peuple Savoisien, lesquels rejettent votre comportement odieux qui bafoue et outrepasse les règles de base de notre démocratie Savoisienne.
Si, en France, vous agissez selon votre bon vouloir, sachez Monsieur le ministre français, qu’en Savoie, votre comportement de type méthode franchouillarde, ne passera pas. Dès lors que votre attitude et décisions impacteront notre Territoire, prévoyez le courroux de nos concitoyens Savoisiens.
Les représentants de la CdA agissent sur notre Territoire, mais ceux-ci demeurent sous surveillance de celles et ceux qui, propriétaires de leurs biens, entendent également protéger le patrimoine que nous léguèrent nos ancêtres. Nous vous enjoignons donc à ne commettre aucune erreur qui, à terme, pourrait vous revenir comme un coup de bâton.
Nous vous rappelons que dès la proclamation de la restauration de la Souveraineté de l’Etat de Savoie, toute société française publique ou privée n’ayant pas son siège social en Savoie (territoire défini par les bornes frontières possédant d’un côté la Croix de Savoie et de l’autre le Lys français) se verra purement et simplement retirer ses parts sociales et/ou actions. Nous vous laissons le soin, Monsieur le Ministre français de bien expliquer à ces capitaux extérieurs qu’eux également encourent la même peine à savoir perdre tout bénéfice ou dividende, action ou part, sur une entreprise, association, société,… lorsque la Savoie recouvrera son indépendance. Vous et vous seul, qui ne pouvez dire ne pas être au courant de la problématique “Savoie” au sein de la France, subirez les conséquences que peuvent engendrer la perte de capitaux par des tierces personnes auxquelles vous avez proposé une opération que l’on peut tout simplement nommer “arnaque”.
Confiant que vous prendrez acte de notre présente réflexion, évitez de contre passer certaines prérogatives et limites car notre Peuple ne vous pardonnerait jamais votre malencontreuse dérive.
Veuillez agréer, Monsieur, Ministre français, l’assurance de notre parfaite considération.
P.S. : vous laissant le soin de prendre contact avec les Chinois pour la malencontreuse bévue que vous avez faite, une copie de ce courrier ne partira aux ambassades chinoises de tous les pays d’Europe que d’ici à 15 jours.