Plaques savoisiennes

Depuis le 25 octobre 2018, des savoisiens ont été convoqués par la police genevoise pour circulation sur le territoire helvétique avec de fausses plaques d’immatriculation, en l’occurrence des plaques savoisiennes.

Le premier savoisien à s’être présenté au poste de Police a eu son véhicule mis en fourrière et ses plaques d’immatriculation détruites par un policier. Il a donc du débourser plus de 550CHF pour récupérer son véhicule et refaire des plaques. Suite à cela, 4 autres savoisiens se sont retrouvés également convoqués par le même policier sans que celui-ci n’accepte quelque document que ce soit pour justifier de notre droit de circuler avec ces plaques.

Le 31 janvier 2019, un premier jugement a été rendu condamnant à un total de plus de 4000 CHF d’amende le savoisien pour circulation avec des plaques non conformes , l’intitulé ayant changé en cours de route.

Afin de ne pas laisser le savoisien nous avons fait appel à un avocat en droit international Suisse qui a accepté de défendre tous les savoisiens qui auraient des problèmes avec la justice helvétique pour les plaques savoisiennes. Dès lors toute audition à venir devra être transmise au préalable à notre avocat. Une première avance de 3000 CHF a d’ores et déjà été réglé.

Suite à toutes les informations fournies à notre avocat, en plus de défendre les savoisiens, celui a décider de poursuivre la République de Genève et le policier verbalisateur.

Ainsi, non seulement le savoisien condamné est défendu, mais tous les autres savoisiens également et ainsi tout savoisien qui désirera circuler sur le territoire helvétique le pourra en toute liberté.

Notre avocat souhaiterait obtenir un maximum d’attestation sur l’honneur indiquant qu’en tant que savoisien, vous circulez sur le territoire de Savoie et français avec vos plaques savoisiennes et que vous n’avez jamais été ni verbalisé ni condamné pour avoir circulé avec vos plaques (attention uniquement au nouveau format XX-000-XX et pas 0000 XX 73 ou 0000 XX 74 c’est plaques n’étant pas verbalisées par la Suisse) nous vous demandons de bien vouloir remplir le document ci-dessous et nous le retourner d’ici au 15 mars 2019

soit par courrier à DAS – 338, Route de la Gruvaz – 74170 Saint Gervais

soit par mail à contact@etat-de-savoie.com

entièrement rempli et avec copie de votre carte d’identité

Vous pouvez bien entendu nous faire un don afin d’aider ces savoisiens à se battre contre la Suisse pour nos droits soit par Paypal, soit par chèque soit par virement en suivant le lien http://etat-de-savoie.com/das/

Document à télécharger et à nous renvoyer :

Notre avocat est Me Nicolas Rouiller dont le cabinet principal est situé à Lausanne

Catalogne – Savoie suite

C’est avec un immense plaisir que nous apprenons l’intégration de la Catalogne au sein de l’UNPO par le biais de l’Assemblea Nacional Catalana. 

Nous présentons toutes nos félicitations au gouvernement Catalan et son peuple et nous pourrons ainsi concrétiser les liens que nous avons commencé à tisser il y a quelques temps avec M. le Président Carles Puigdemont

Vœux 2019

En ce premier jour de l’an 2019, nos vous présentons tous nos vœux de bonheur, santé, réussite tant professionnelle que personnelle.

Bien entendu, nous souhaitons plus que tout, au vu des événements marquant l’actualité française ces derniers mois, l’indépendance de la Savoie.

Plusieurs points seront à aborder pour la nouvelle année, malheureusement l’absorption de Savoisiens par les Gilets Jaunes semble leur faire manquer certaines actualités pourtant ô combien importantes pour notre pays.

Si effectivement la fermeture de la Cour d’Appel de Chambéry ne semble pas actée dans les textes, bon nombre d’habitants de Savoie, pour 2019 se retrouvent pourtant convoqués à la Cour d’Appel de Grenoble en lieu et place de Chambéry sans que cela n’émeuve grand monde, le tribunal de Bonneville est par contre voué à la fermeture malgré l’inamovibilité de la magistrature actée dans le traité de 1860.

Si effectivement, le nombre de trains en Savoie diminue, et même si certains (très peu) sont remplacés par des lignes de bus, on ne peut se réjouir de la faible mobilisation des savoisiens contre le Lyon-Turin qui réduira encore plus le nombre de lignes intra-Savoie. Peut-on cependant se féliciter de la fin des lignes directes Savoie – Paris, nous éloignant encore plus de la capitale française mais au détriment de la circulation sur nos routes ?

Ce matin du 1er janvier, un jeune sapeur pompier volontaire de 21 ans est décédé dans un accident de la circulation à Albertville. Nous pensons que 2019 devrait être l’année des “Secouristes” : Pompiers, Médecins, Urgentistes, Infirmières,… Toutes celles et ceux qui ont passés, passent ou vont passer leur vie pour sauver celle des autres ; dans les hôpitaux, sur la route, lors des manifestations (pour les manifestants, les policiers, les casseurs…), pendant un repas, même s’ils ne sont pas en service, porter secours est dans leurs gènes, et dès qu’une personne en danger se présente à eux, ces secouristes ne comptent plus leurs heures pour notre bien. Et pourtant ces personnes de première nécessité ne sont pas considérées à leur juste valeur.

2019, est aussi l’année des élections européennes -loin de nous l’idée de nous présenter-. En discussion depuis plusieurs années avec d’autres mouvements indépendantistes de Nouvelle-Calédonie, Guadeloupe, … leur souhait serait de faire une liste commune avec les indépendantistes du “Continent” comme ils disent. Si cela vous intéresse, n’hésitez pas à nous contacter , nous sommes apolitiques et ne désirons pas nous investir dans cette mission mais, comme nous l’avons toujours dit, chaque savoisien, chaque savoisienne est libre de se présenter, de voter, pour qui il (elle) veut et nous aurons toujours pour préférence que les savoisien(nes) votent (s’ils devaient voter) pour notre indépendance plutôt que pour un parti français. L’avantage de s’associer avec un parti indépendantiste existant est qu’il ne serait pas besoin d’en créer un nouveau.

2019 toujours, peut-être le passage au tribunal de la D.A.S. Le procureur de Bonneville n’a plus rien en réserve contre la Direction au Affaires Savoisiennes. Il est obligé de puiser dans notre site pour essayer de décrédibiliser l’association. Malheureusement, il s’appuie sur des faits postérieurs à la date de la demande de dissolution de la D.A.S. Peut-être une convocation en 2019 après une vingtaine d’échanges de conclusions entre nos avocats et le Procureur via le Juge ?

2019 enfin, Comme tous les ans, nous renouvelons notre appel aux dons pour le règlement de la cotisation de l’UNPO et nous vous remercions par avance pour votre aide financière. Vous pouvez nous envoyer votre règlement

par chèque à l’ordre de la D.A.S à l’adresse suivante : DAS – 338, Route de la Gruvaz – 74170 Saint Gervais

par virement sur le compte IBAN : FR76 1054 8000 3670 1019 1621 973    /    BIC : BSAVFR2CXXX

Par Paypal (virement ou Carte Bancaire) : das@etat-de-savoie.com

Vous souhaitant encore une fois une merveilleuse année 2019, tout en espérant notre indépendance encore et toujours

Courrier pour l’ONU et l’Europe

Depuis 5 ans nous dénonçons lors des différents forums des minorités qui se tiennent au Siège de l’ONU à Genève les agissement de l’état français en Savoie : son non respect des traités, de notre peuple, de notre histoire, de notre territoire…

Depuis le 17 novembre et le soulèvement de ceux qui se nomment eux-mêmes les Gilets Jaunes, nous nous apercevons que le gouvernement français ne respecte même plus son propre peuple.

Malheureusement, ces exactions ont un effet néfaste sur le territoire de la Savoie et son peuple, les forces armées françaises et les forces françaises d’occupation déjà très présentes et intimidantes en Savoie sont aujourd’hui montées d’un cran.

Demain, le 8 décembre, un quatrième acte semble déjà être prévu contre ce semblant de démocratie que nous dénonçons depuis plusieurs années.

Nous en appelons aux rapporteurs de l’ONU et du Parlement Européen pour vous rendre compte sur place des revendications légitimes que nous demandons.

La Savoie n’est pas la France, historiquement, géographiquement, juridiquement ; nous n’avons plus à subir le joug français qui détruit la Savoie à petit feu au sens propre comme au figuré depuis le 17 novembre 2018. Tous ces agissements sont le fait de français situés sur le sol de la Savoie qui, depuis des décennies nous envahissent à raison de plus de 10000 habitants par an pour une population d’un peu plus d’un million de personnes. Hier c’était l’état français qui nous asphyxiait, aujourd’hui c’est son peuple qui s’en prend à notre territoire contre un homme qui n’est pas notre président.

Notre Savoie a toujours été pacifique, notre combat a toujours été pacifique et la Suisse, de par les traités de 1815, 1816, … nous doit assistance, elle se doit donc d’intervenir en Savoie pour le maintien de l’ordre, par respect pour nos ancêtres qui ont permis à la République de Genève d’intégrer la Confédération Helvétique en tant qu’Etat. Il ne s’agit plus d’un problème d’ingérence dans les affaires françaises, il s’agit de faire respecter le droit international, l’inexistence de l’enregistrement du Traité de Turin de 1860 auprès du Secrétariat de l’ONU conformément au traité de Paris de 1947 doit permettre également à TOUS les autres états européens de rétablir sans délai l’ordre et la sécurité en Savoie pour qu’ensuite les français puissent faire valoir leurs droits sur leur président et que la paix revienne en Europe.

L’Europe des Peuples prendra une sérieuse avance avec la reconnaissance de la Savoie et la fin de l’indigestion française dont tous les peuples d’Afrique ont aujourd’hui eu un jour ou l’autre affaire ; il n’y a pas un pays au monde qui n’ai pas eu maille à partir avec la France, cette suprématie doit s’arrêter aujourd’hui !

Le retrait de la France du Conseil de Sécurité de l’ONU doit également être mise à l’ordre du jour sans délai, son intégrité à l’encontre du choix d’un peuple est mis à mal et aucune discussion n’étant possible, la France ne doit plus pouvoir intervenir dans un conflit externe tant que les conflits internes n’auront été réglés démocratiquement.

La Savoie n’est pas la France, les problèmes français ne doivent plus nous impacter, l’intervention militaire de l’ONU est malheureusement la seule solution aujourd’hui pour faire valoir la parole d’un peuple méprisé depuis 158 ans. Un seul Casque Bleu permettra de faire revenir le calme en Savoie en quelques minutes alors qu’en trois semaines d’émeute aucune solution n’a permis d’apaiser le peuple français de Savoie.

Il ne s’agit pas de discuter de la Liberté d’un Peuple mais d’agir sans délai pour que deux peuples puissent vivre sans guerre chacun chez soi

 

La collectivité territoriale d’Alsace késako

Tout d’abord pour comprendre ce qu’est cette nouvelle collectivité, voici le projet de loi :

Proposition de loi pour une Collectivité territoriale d’Alsace

Nous n’avons pas d’ambition politique et nous ne commenterons pas cette proposition de loi, nous reprendrons simplement les parole de Jean-François Mattler d’Unser Land à ce sujet :

“Suite aux déclarations du Premier ministre et à la signature de la déclaration commune en vue de la création d’une collectivité européenne d’Alsace, Unser Land fait l’analyse suivante :
Cette déclaration fait suite à quatre années de lutte pour une renaissance institutionnelle de l’Alsace. Elle répond à la mobilisation de la société civile et citoyenne, incarnée sur le plan politique par Unser Land. Mais in fine elle ne respecte pas les Alsaciens, qui dans leur grande majorité s’expriment pour la sortie du Grand Est et qui aspirent légitimement à se voir appliquer un statut particulier, comme cela est d’ores et déjà prévu dans la Constitution.
Sur un plan juridique, la création de la Collectivité d’Alsace, telle qu’envisagée par le Gouvernement, pose de sérieuses questions de viabilité. Si la fusion sèche des départements est faisable, l’attribution de compétences supplémentaires se heurte aux principes constitutionnels. En effet, les collectivités de droit commun (départements, par exemple) doivent avoir le même statut et assumer les mêmes compétences, cela a été rappelé en décembre dernier par le Conseil d’État. Seules les collectivités à statut particulier (art. 72) peuvent déroger à ce cadre ; or, le gouvernement exclut cette solution. De ce fait, quand les mirages se seront dissipés devant l’implacable réalité jacobine de ce pays, il restera ne restera plus qu’un département Alsace à l’intérieur du Grand Est. Les élus, si prompts aujourd’hui à sentir les effets positifs de ce placébo, nous expliqueront, la main sur le cœur, que leur « désir d’Alsace » s’est heurté aux réalités constitutionnelles. Et ils capituleront une nouvelle fois, au nom de la République !
Sur le plan des compétences : si les thèmes évoqués figurent parmi nos priorités, nous constatons que les avancées sont très faibles et restent de l’ordre du marketing politique :
Sur le transfrontalier, la région « Grand Est » garde la main. Le schéma alsacien de coopération transfrontalière sera non prescriptif et devra s’inscrire dans les orientations fixées par le Grand Est. Les moyens d’action seront donc marginaux.
La question du bilinguisme est évoquée sous l’angle du « plurilinguisme », la situation alsacienne est mise sur le même plan que celle de la Meuse ou des Ardennes. Il est évoqué un rôle de pilotage sur ce sujet, sans en préciser les moyens réels. L’État garde la main sur le recrutement, la formation et la titularisation des enseignants. La Collectivité européenne d’Alsace devra se contenter d’un rôle d’accompagnement restant à définir.
Sur les transports, l’A35 sera cédée à la nouvelle collectivité. Pour ce qui est de la mise en place d’une éventuelle écotaxe, on reste dans le flou juridique. La collectivité pourra être associée aux projets d’infrastructures transfrontaliers, mais a priori, elle n’exercera pas ici de leadership. Par contre, le texte valide le GCO.
Quant à la question culturelle, elle est abordée sur l’angle du transfrontalier et du tourisme ! Là encore, il n’y a pas de remise en cause des compétences du Grand Est.
La réorganisation des fédérations culturelles, sportives et professionnelles à l’échelle alsacienne est permise… à l’échelon infrarégional. Il n’y a donc aucune évolution de ce point de vue !
Les transports ferroviaires, l’aménagement du territoire et la formation professionnelle, compétences clés, restent à la région Grand Est.
La question du Droit local n’est même pas évoquée.
L’organisation des services déconcentrés de l’État n’est pas remise en cause. La santé, la jeunesse et sport, la culture, etc. resteront organisés à l’échelle du Grand Est. Pire, les préfectures du Haut-Rhin et du Bas-Rhin sont maintenues, empêchant la mise en place d’une politique à l’échelle alsacienne au niveau des services de l’État.
Enfin, le mode d’élection des conseillers de la future collectivité (scrutin en binôme et non par liste) est un scandale. Il maintiendra à la collectivité départementale son caractère d’assemblée de notables et empêchera de facto toute diversité politique dans l’assemblée. Ici, les présidents des départements ont su défendre leurs intérêts personnels et partisans.
En conclusion, si le gouvernement a enfin compris que les Alsaciens ont des attentes, il y répond en proposant la création d’une collectivité au rabais se caractérisant par une viabilité juridique douteuse et des compétences quasi « décoratives ». Le montage du projet ne va pas non plus dans le sens de la simplification administrative et de la lisibilité des responsabilités politiques. Le projet ne répond ni aux attentes des Alsaciens (sortie du Grand Est, collectivité à statut particulier) ni aux ambitions que l’on pourrait avoir en matière de construction européenne.
C’est un simple gadget bas de gamme : flashy mais inutile. Mieux que rien, mais trois fois rien. ”

Toutes les informations utiles sont sur leur site : https://www.unserland.org/

 

Soutien aux Kanaks

Nous soutenons les Kanaks dans leur d’autodétermination et espérons pour eux le choix d’une indépendance le 4 novembre 2018 afin de montrer que la France n’est pas une finalité mais surtout qu’un peuple peut s’émanciper et réussir là où l’état failli

"Il n'y a rien qui me rattache à la France" : pourquoi ils veulent l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie

"Il n'y a rien qui me rattache à la France" : pourquoi ils veulent l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie Plus d'infos : bit.ly/2QdRXhQ

Publiée par Franceinfo sur Vendredi 2 novembre 2018