Depuis 5 ans nous dénonçons lors des différents forums des minorités qui se tiennent au Siège de l’ONU à Genève les agissement de l’état français en Savoie : son non respect des traités, de notre peuple, de notre histoire, de notre territoire…
Depuis le 17 novembre et le soulèvement de ceux qui se nomment eux-mêmes les Gilets Jaunes, nous nous apercevons que le gouvernement français ne respecte même plus son propre peuple.
Malheureusement, ces exactions ont un effet néfaste sur le territoire de la Savoie et son peuple, les forces armées françaises et les forces françaises d’occupation déjà très présentes et intimidantes en Savoie sont aujourd’hui montées d’un cran.
Demain, le 8 décembre, un quatrième acte semble déjà être prévu contre ce semblant de démocratie que nous dénonçons depuis plusieurs années.
Nous en appelons aux rapporteurs de l’ONU et du Parlement Européen pour vous rendre compte sur place des revendications légitimes que nous demandons.
La Savoie n’est pas la France, historiquement, géographiquement, juridiquement ; nous n’avons plus à subir le joug français qui détruit la Savoie à petit feu au sens propre comme au figuré depuis le 17 novembre 2018. Tous ces agissements sont le fait de français situés sur le sol de la Savoie qui, depuis des décennies nous envahissent à raison de plus de 10000 habitants par an pour une population d’un peu plus d’un million de personnes. Hier c’était l’état français qui nous asphyxiait, aujourd’hui c’est son peuple qui s’en prend à notre territoire contre un homme qui n’est pas notre président.
Notre Savoie a toujours été pacifique, notre combat a toujours été pacifique et la Suisse, de par les traités de 1815, 1816, … nous doit assistance, elle se doit donc d’intervenir en Savoie pour le maintien de l’ordre, par respect pour nos ancêtres qui ont permis à la République de Genève d’intégrer la Confédération Helvétique en tant qu’Etat. Il ne s’agit plus d’un problème d’ingérence dans les affaires françaises, il s’agit de faire respecter le droit international, l’inexistence de l’enregistrement du Traité de Turin de 1860 auprès du Secrétariat de l’ONU conformément au traité de Paris de 1947 doit permettre également à TOUS les autres états européens de rétablir sans délai l’ordre et la sécurité en Savoie pour qu’ensuite les français puissent faire valoir leurs droits sur leur président et que la paix revienne en Europe.
L’Europe des Peuples prendra une sérieuse avance avec la reconnaissance de la Savoie et la fin de l’indigestion française dont tous les peuples d’Afrique ont aujourd’hui eu un jour ou l’autre affaire ; il n’y a pas un pays au monde qui n’ai pas eu maille à partir avec la France, cette suprématie doit s’arrêter aujourd’hui !
Le retrait de la France du Conseil de Sécurité de l’ONU doit également être mise à l’ordre du jour sans délai, son intégrité à l’encontre du choix d’un peuple est mis à mal et aucune discussion n’étant possible, la France ne doit plus pouvoir intervenir dans un conflit externe tant que les conflits internes n’auront été réglés démocratiquement.
La Savoie n’est pas la France, les problèmes français ne doivent plus nous impacter, l’intervention militaire de l’ONU est malheureusement la seule solution aujourd’hui pour faire valoir la parole d’un peuple méprisé depuis 158 ans. Un seul Casque Bleu permettra de faire revenir le calme en Savoie en quelques minutes alors qu’en trois semaines d’émeute aucune solution n’a permis d’apaiser le peuple français de Savoie.
Il ne s’agit pas de discuter de la Liberté d’un Peuple mais d’agir sans délai pour que deux peuples puissent vivre sans guerre chacun chez soi
Nous n’avons pas d’ambition politique et nous ne commenterons pas cette proposition de loi, nous reprendrons simplement les parole de Jean-François Mattler d’Unser Land à ce sujet :
“Suite aux déclarations du Premier ministre et à la signature de la déclaration commune en vue de la création d’une collectivité européenne d’Alsace, Unser Land fait l’analyse suivante : Cette déclaration fait suite à quatre années de lutte pour une renaissance institutionnelle de l’Alsace. Elle répond à la mobilisation de la société civile et citoyenne, incarnée sur le plan politique par Unser Land. Mais in fine elle ne respecte pas les Alsaciens, qui dans leur grande majorité s’expriment pour la sortie du Grand Est et qui aspirent légitimement à se voir appliquer un statut particulier, comme cela est d’ores et déjà prévu dans la Constitution. Sur un plan juridique, la création de la Collectivité d’Alsace, telle qu’envisagée par le Gouvernement, pose de sérieuses questions de viabilité. Si la fusion sèche des départements est faisable, l’attribution de compétences supplémentaires se heurte aux principes constitutionnels. En effet, les collectivités de droit commun (départements, par exemple) doivent avoir le même statut et assumer les mêmes compétences, cela a été rappelé en décembre dernier par le Conseil d’État. Seules les collectivités à statut particulier (art. 72) peuvent déroger à ce cadre ; or, le gouvernement exclut cette solution. De ce fait, quand les mirages se seront dissipés devant l’implacable réalité jacobine de ce pays, il restera ne restera plus qu’un département Alsace à l’intérieur du Grand Est. Les élus, si prompts aujourd’hui à sentir les effets positifs de ce placébo, nous expliqueront, la main sur le cœur, que leur « désir d’Alsace » s’est heurté aux réalités constitutionnelles. Et ils capituleront une nouvelle fois, au nom de la République ! Sur le plan des compétences : si les thèmes évoqués figurent parmi nos priorités, nous constatons que les avancées sont très faibles et restent de l’ordre du marketing politique : Sur le transfrontalier, la région « Grand Est » garde la main. Le schéma alsacien de coopération transfrontalière sera non prescriptif et devra s’inscrire dans les orientations fixées par le Grand Est. Les moyens d’action seront donc marginaux. La question du bilinguisme est évoquée sous l’angle du « plurilinguisme », la situation alsacienne est mise sur le même plan que celle de la Meuse ou des Ardennes. Il est évoqué un rôle de pilotage sur ce sujet, sans en préciser les moyens réels. L’État garde la main sur le recrutement, la formation et la titularisation des enseignants. La Collectivité européenne d’Alsace devra se contenter d’un rôle d’accompagnement restant à définir. Sur les transports, l’A35 sera cédée à la nouvelle collectivité. Pour ce qui est de la mise en place d’une éventuelle écotaxe, on reste dans le flou juridique. La collectivité pourra être associée aux projets d’infrastructures transfrontaliers, mais a priori, elle n’exercera pas ici de leadership. Par contre, le texte valide le GCO. Quant à la question culturelle, elle est abordée sur l’angle du transfrontalier et du tourisme ! Là encore, il n’y a pas de remise en cause des compétences du Grand Est. La réorganisation des fédérations culturelles, sportives et professionnelles à l’échelle alsacienne est permise… à l’échelon infrarégional. Il n’y a donc aucune évolution de ce point de vue ! Les transports ferroviaires, l’aménagement du territoire et la formation professionnelle, compétences clés, restent à la région Grand Est. La question du Droit local n’est même pas évoquée. L’organisation des services déconcentrés de l’État n’est pas remise en cause. La santé, la jeunesse et sport, la culture, etc. resteront organisés à l’échelle du Grand Est. Pire, les préfectures du Haut-Rhin et du Bas-Rhin sont maintenues, empêchant la mise en place d’une politique à l’échelle alsacienne au niveau des services de l’État. Enfin, le mode d’élection des conseillers de la future collectivité (scrutin en binôme et non par liste) est un scandale. Il maintiendra à la collectivité départementale son caractère d’assemblée de notables et empêchera de facto toute diversité politique dans l’assemblée. Ici, les présidents des départements ont su défendre leurs intérêts personnels et partisans. En conclusion, si le gouvernement a enfin compris que les Alsaciens ont des attentes, il y répond en proposant la création d’une collectivité au rabais se caractérisant par une viabilité juridique douteuse et des compétences quasi « décoratives ». Le montage du projet ne va pas non plus dans le sens de la simplification administrative et de la lisibilité des responsabilités politiques. Le projet ne répond ni aux attentes des Alsaciens (sortie du Grand Est, collectivité à statut particulier) ni aux ambitions que l’on pourrait avoir en matière de construction européenne. C’est un simple gadget bas de gamme : flashy mais inutile. Mieux que rien, mais trois fois rien. ”
Nous soutenons les Kanaks dans leur d’autodétermination et espérons pour eux le choix d’une indépendance le 4 novembre 2018 afin de montrer que la France n’est pas une finalité mais surtout qu’un peuple peut s’émanciper et réussir là où l’état failli
Nous tenons à féliciter Mme Nadia Murad pour sa nomination au Prix Nobel de la Paix.
Originaire du Kurdistan situé à cheval sur l’Iran et l’Irak, elle représente fièrement son peuple Yazidi ou Yézidie dont une délégation est à l’origine, avec d’autres peuples, de la création de l’UNPO en 1991.
1860, tous les savoisiens connaissent la farce abjecte dont ont eu à faire face leurs aïeux.
2018, une simagrée de votation à de nouveau lieu en Savoie, à en faire pâlir de jalousie Macroléon 1er
Le 23 juin 2018, à Saint Gervais les Bains – FY- se tient l’Assemblée Générale Ordinaire de l’association de chasse locale (ACCA). 3 personnes doivent normalement y être élues selon les statuts et suite à la démission de deux personnes, celles-ci doivent également être remplacées. Après un tour de table 5 personnes (dont une femme) se présentent. Aucune contestation. Les bulletins de votes sont distribués. Le vote a lieu à bulletin secret et à l’énoncé du résultat les 5 membres sont élus au premier tour.
Fin du vote…
Pourtant alors que l’élection vient d’être entérinée, plusieurs voix s’élèvent refusant cette élection et demande un nouveau vote, ils refusaient la présence de cette femme dans le bureau. Nouveau vote accepté par le Président de l’ACCA. Raison invoquée : Aucune !
Mais la présence de ces 5 nouveaux au sein du bureau aurait pu faire modifier l’ordre hiérarchique établi et le Président se trouvait ainsi sur un siège éjectable…
Deuxième vote:
De nombreux votants n’acceptant pas le second vote sortent de la salle : dégoutés par le système ? eux seuls peuvent le dire. 7 personnes alors se présentent alors que 5 seulement l’étaient pour le premier vote. Les pouvoirs des personnes absentes sont distribuées sans aucun contrôle et le dépouillement fût également effectué uniquement par deux personnes du comité sans contrôle extérieur. Les personnes qui “menaçaient” ainsi au premier tour le bureau de l’association” se retrouvèrent évincées purement et simplement.
Bref comme pour tout bon français qui se respecte, lorsqu’un vote dérange, on l’annule.
Heureusement un savoisien présent lors de l’événement dénoncera cet action et sera suivi par ceux qui n’acceptent pas cette mascarade. Nous ne citerons aucun nom, ces personnes dignes de la gestapo vous auraient bien vite envoyées en Allemagne en 1939 si votre tête ne leur convenait pas et ils auraient fait de super-résistants en 1947.
Une autre histoire tout aussi passionnante et étrange pour ce type d’association : on s’aperçoit ainsi à la lecture des compte que l’association de chasse dépense plus d’argent des cotisations dans les frais d’avocat afin d’interdire certaines personnes d’entrer dans l’ACCA plutôt que d’acquérir des animaux pour la reproduction sauvage.
Enfin l’ACCA a réussi à mettre en place une réserve de chasse à l’intérieur d’un périmètre dans laquelle se situe un nombre important de résidences principales et des voies où la circulation est importante. Les Sangliers s’en donnent ainsi à cœur joie au milieu des pelouses, détruisant clôtures, parcs, jardins voire champs de blé. Seule consolation, si l’on peut dire, les sangliers percutés par les voitures lors de la traversée des voies mais les chasseurs n’y sont pas perdant puisque si l’accident est déclaré, ils récupèrent la bête…
Serge Ducroz – St Gervais Le Fayet – dont le champs de blé a été détruit par les sangliers.
Ce blé bio lui sert à fabriquer son pain qu’il vend lors des différentes manifestation organisées sur sa commune et dont le bénéfice est reversé aux différentes associations de St Gervais. Pas de blé, pas de pain, pas d’argent.
De notre Ambassadeur de Savoie en Grèce – D. Tsikas – le 27 juillet 2018 (traduction : Google Traduction)
“À la Conférence de Presse hier le président et les ministres ont dit que la veille tout avait bien marché et ils ont accusé les victimes parce que certaines des maisons dans cette zone ont été construites dans les années 80 et 90 sans autorisation …!
Donc, selon le gouvernement, les seuls responsables sont les gouvernements précédents et les propriétaires.
Mais la vérité est qu’il y a quelques jours le Service de Prévision National avertissait des hausses de températures et que le vent soufflerait fort dans cette zone où se trouvent beaucoup de pins. Mais l’état ne faisait toujours rien. Le feu s’est éteint quand il a atteint la mer. Il n’y avait aucun plan de secours par l’état dans cette zone, je ne dis pas ceci parce que je n’aime pas beaucoup le gouvernement actuel, mais de par mon expérience de 7 ans en tant que sauveteur volontaire de la Protection Civile grecque.
La zone entière est détruite, des milliers de voitures ont brûlé et plus de 1000 maisons détruites partiellement ou totalement à cause du feu (elles n’ont pas encore été enregistrées officiellement puisque non déclarées).
Jusqu’à présent 87 personnes sont décédées, mais il y a encore beaucoup de disparus qui sont probablement morts dans les maisons incendiées et ils ne les trouveront que dans les prochains jours.
De nombreux pays ont offert leur aide, mais ce n’est plus nécessaire car le feu ne brûle plus. A ce jour, il n’y a pas vraiment besoin d’aide car les blessés sont toujours dans les hôpitaux, mais il y en aura sûrement besoin au cours des prochains mois. Les principales nécessités seront surtout la nourriture et les vêtements.
Et bien sûr, toutes ces organisations “humanitaires” qui sont en Grèce pour aider les réfugiés, n’ont offert aucune aide aux personnes qui ont besoin d’aide maintenant dans la région sinistrée”
Nous sommes heureux de pouvoir organiser cette année l’Assemblée Générale de l’UNPO qui se tiendra à Saint Gervais du 13 au 15 septembre 2018.
Plus de 40 peuples membres de l’UNPO seront présents dans notre belle Savoie durant ces trois jours à l’Espace Mont-Blanc.
Nous sommes cependant au regret de vous informer que cette réunion est privée et que seuls les membres de la DAS ayant cotisé cette année pourront y assister.